Depuis le début des années 2000, on assiste à une certaine prise de conscience de la place de l’individu dans la chaîne de consommation, mais aussi de ce qui concerne la fragilité des ressources naturelles, le gaspillage et les compétences créativesde chacun.
Il conviendrait d’ailleurs de parler de seconde vie des objets, et concernant les acteurs de ces procédés, de ne pas réduire ce type de comportement au seul aspect créatif, mais bien plus largement, de parler de l’émergence d’une contre-culture.
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