Nés avec Internet et connectés permanents, les néotrentenaires envisagent la création comme un processus décentralisé et collectif. « Après les designers stars, c’est le retour du design anonyme », se risque même à pronostiquer Jean-Luc Colonna d’Istria, du concept store parisien Merci, qui consacre à la génération Y ses vitrines de rentrée.
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