Dans son atelier, le facteur peaufine une longue tradition de flûtiste via les gestes et les matériaux (sureau, os, corne). « Nous sommes détenteurs d’une lutherie extrêmement archaïque. Mais c’est un métier qui évolue en permanence. J’essaie toujours de me dépasser. Pour affiner la qualité de l’instrument et son esthétique sonore. »
Source: www.lejdc.fr