L’or, mélangé à une infime quantité d’argent ou de cuivre, est fondu sur place avant d’être laminé, battu, coupé et finalement mis en livre. Chaque feuille ne mesure pas plus d’un dixième de micron d’épaisseur. Une finesse telle qu’ « impossible à évaluer par quelque machine que ce soit ».
Source: www.savoie-mont-blanc.com